La forme de thérianthropie la plus répandue est la lycanthropie. Il existe de nombreuses sous-espèces de loups, et les mœurs, les coutumes, les croyances peuvent se voir légèrement modifiées, ou accentuées, d'une meute à l'autre. Globalement, il faut savoir que la société lycanthrope est soumise à des règles très strictes, qui sont suivies – et même subies – par la totalité de ses représentants. Les loups-garous vivent en meute et les solitaires sont rares. Ils sont exclusifs et ne se mélangent pas aux autres races, ils évitent mêmes leurs cousins léopards et se démarquent d'eux sur de nombreux points.

- hiérarchie -

Chaque continent (ou moitié de continent) a son Amarok ; c'est l'Ulfric de tous les ulfrics, le plus puissant, le plus âgé et le plus dominant d'entre eux. Celui d'Amérique du Nord vit à Aspeen Creek, dans le Montana, entouré de loups instables et perdus qu'il aide à rester dans le droit chemin. Il rend visite aux Ulfrics de son territoire deux fois par an, et forme, avec tous les Amaroks du monde, le Haut Conseil des Loups-Garous (qui se réunit plusieurs fois par an, et dans les cas d'urgence). Ce dernier est considéré comme faible par rapport aux autres instances surnaturelles, comme le Haut Conseil des Vampires, par exemple. Le Conseil des lycanthropes est en effet moins organisé, ses représentants passant plus de temps à gérer leur territoire et leurs propres meutes qu'à s'occuper des problèmes à échelle mondiale. Ils n'ont réellement de pouvoir que sur leur propre espèce et préfèrent se tenir à l'écart de toutes les autres, mais la discipline et l'attachement des loups-garous à la hiérarchie fait probablement d'eux l'espèce la plus unie et, de ce fait, une race suffisamment redoutable.
Les Amaroks mènent généralement les leurs d'une main de fer, ils savent faire respecter leur autorité, et lorsqu'une règle est établie, les Ulfrics la respectent. Ils sont toutefois assez libres dans la gestion de leur meute et règlent leurs problèmes entre eux la plupart du temps : on ne prend pas le risque de voir se déplacer l'Amarok et sa garde en dehors des visites bisannuelles.

Après l'Amarok vient l’Ulfric : un loup à la tête de chaque meute, chargé de guider, de protéger les siens, d'instaurer un climat favorable au bon développement de la meute, et de la faire prospérer. L'Ulfric doit à la fois révéler des liens familiaux dans sa meute et asseoir son autorité. Chaque loup considère l’autre comme son frère et pourtant, l’organisation d’une meute fait penser à celle de l’armée. Seul le plus puissant et le plus dominant peut prétendre à la place d’Ulfric car il aura besoin de suffisamment de pouvoir pour contrôler ses loups. Seul un combat à mort permet d'en détrôner un et de prendre sa place. L'ennui, c'est que les fortes têtes ont tendance à défier un Ulfric pour un oui ou pour un non ; or, nombreux sont les alpha qui, loin d'être faibles, n'ont pas pour autant l'étoffe d'un Ulfric. C'est pourquoi, depuis environ 3 siècles, il est interdit de prendre le commandement d'une meute sans le consentement de l' Amarok. Cela évite non seulement d'avoir affaire à une meute instable et des loups ingérables, mais évite également de nombreux décès, et dieu sait que les vies lycanthropes sont précieuses aux yeux de la race.
Chaque nouveau loup arrivant au sein d’une meute doit impérativement trouver sa place en fonction de sa nature à dominer ou à être soumis : pour cela, il doit affronter les mâles (et parfois les femelles) présents jusqu'à perdre un combat. En général, ces duels sont beaucoup moins dangereux qu’auparavant, parce que les loups sont priés par leur Ulfric de déclarer forfait avant de se faire tuer (avec la guerre, de nombreux loups ont succombé et les naissances se faisant rares, la race est plus ou moins menacée). Mais beaucoup de loups ont du mal à intégrer parmi eux des étrangers, les « accidents » sont donc fréquents.
L’Ulfric est entouré dans sa gouvernance de son Freki , le loup le plus dominant après lui. L'Ulfric doit avoir toute confiance en lui mais c'est parfois difficile ; le second et le troisième (le Raani) doivent être capables de le suppléer, et même de le remplacer, et sont le reflet de son autorité ; le meneur doit être capable néanmoins de les tenir et de les remettre à leur place : il est impératif qu'il s’entoure des plus puissants, sans pour autant les laisser comploter dans son dos pour prendre sa place ou abuser de leur autorité.
Les autres loups se régissent eux-mêmes, en allant du plus dominant (alpha) au plus soumis (stigma) :

→ Alpha ; Le terme « alpha », désigne à l'origine, les loups-garous dominants. Un Ulfric est forcément un loup-garou alpha. Un Amarok aussi. Très souvent, on utilise à tort le terme « Alpha » pour désigner l'Ulfric (le chef) d'une meute. Dans une meute, les loups alphas sont les plus forts et les plus dominants. C'est le cas du Freki, du Bolverk, etc. On a relevé quelques cas exceptionnels de femelles alphas.
→ Omega ; Les Omega sont extrêmement rares. Toutes les meutes n'en possèdent pas. Ces derniers inspirent la confiance à leurs congénères. Excellents diplomates, ils inspirent la paix, ont un contrôle d'eux-mêmes impressionnant, et sont capables d'apaiser les tensions, de calmer les bêtes de leurs semblables. Leurs talents fonctionnent surtout sur les thérianthropes, mais ont également des répercussions sur les autres espèces. Ils sont très efficaces sur les humains. Quand un Omega entre au sein d'une meute, il prend automatiquement le rôle de Loki (poste autrement occupé par un loup ayant une très bonne maîtrise de soi). Il ne peut occuper un autre poste, non plus celui d'Ulfric. Un omega n'a pas le droit de défier un alpha en utilisant son pouvoir apaisant sur lui. Les autres loups ne cherchent pas à le défier.
→ Lambda ; On appelle « lambdas », les loups qui ne sont ni particulièrement soumis, ni particulièrement dominants.
→ Stigma ; Les stigmas sont les loups-garous les plus soumis. Ils sont très souvent persécutés par les dominants, craintifs et obéissants. Leur vie au sein d'une meute n'est pas facile. Il s'agit souvent de femelles, même s'il n'est pas exclu de voir des stigmas mâles.

/!\ Ces 4 termes sont relatifs au degré de dominance d'un loup. Ils n'ont rien à voir avec les rôles possiblement occupés par ces derniers au sein de la meute, qui sont d'ailleurs répertoriés dans le paragraphe suivant. Pour connaître les degrés de dominance des loups du forum, c'est par ici !

- place des femmes -

Vous l'aurez compris : il ne fait pas bon être une femelle au milieu de tous ces loups machos, même s'il existe des exceptions des deux côtés (des mâles plutôt sympas, et des femelles bien placées). Les femmes sont précieuses au sein d'une meute : bien que soumises, brusquées et violentées parfois, elles sont particulièrement protégées, jamais tuées, sauf en cas d'extrême nécessité. Là où un mâle, en cas de faute grave, se verra offrir la peine capitale, une femelle aura environ 8 chances sur 10 d'en réchapper : on a besoin d'elles au sein de la meute pour enfanter, et l'Ulfric doit en tenir compte. Évidemment, s'il s'agit d'une faute extrême ou d'une récidive, elles ont plus de chances d'y passer. De même, il est extrêmement rare de voir une louve solitaire car les dominants cherchent alors à en faire leur partenaire ou compagne, et les meutes à se les approprier pour en faire des mères potentielles. Et sans protection, elles n'ont que peu de chance de survivre à un mâle (voire plusieurs) lors d'un combat. Elles devront donc céder. Il existe certaines louves ayant réussi à acquérir leur place en défiant les mâles les plus dominants, mais elles restent extrêmement rares. Il s’agit des forces de la nature. Certaines peuvent même obtenir un poste de troisième au sein de la meute. En revanche, les femelles Ulfric, Freki ou Amarok n'existent pas.
Note : les loups n'ont de rapports sexuels que sous leur forme humaine, le contraire étant considéré comme extrêmement malsain. Un mâle peut être condamné par ses pairs pour avoir forcé une femelle à s'accoupler sous forme animale.

- coutumes -

→ Les loups-garous vivent en meute, mais il peut y avoir des solitaires. Ces derniers le sont soit par choix (et parce qu'ils sont suffisamment dominants pour ne pas se laisser embrigader dans une meute), soit parce qu'ils sont rejetés par les leurs. Quand un solitaire pénètre le territoire d'une meute, l'Ulfric de cette dernière va obligatoirement chercher à le faire entrer dans sa meute (sauf si l'individu en question ne lui revient pas, auquel cas il le tuera). Le territoire occupé par une meute n'englobe pas tout un état, même s'il ne peut y avoir qu'une seule meute par état (il n'y en a parfois pas du tout). Un solitaire peut demeurer dans un état sans faire partie de la meute, s'il possède un "permis de séjour temporaire", attribué après demande par le Directoire. En cas de problème, c'est donc au Directoire de s'occuper de lui. L'Ulfric n'en est pas directement responsable.
→ Les loups-garous organisent régulièrement des chasses en meute. Elles peuvent avoir lieu plusieurs fois dans le mois. A tour de rôle, des guetteurs dessinent un périmètre de surveillance au sein duquel aucun humain ne doit pénétrer. Les moindres témoins doivent être tués. La plus grosse chasse du mois a lieu le soir de la Pleine Lune. Juste avant, et juste après, les loups se réunissent au « Lunapar », leur terre sacrée au milieu des bois, l'endroit où ils honorent leurs dieux et leurs morts. C'est ici qu'ont lieu les rituels importants, les défis entre membres de la meute, les prises officielles de pouvoir (que ce soit pour un Ulfric ou l'accès à un poste important), les célébrations diverses, et les adieux aux morts. Il s'agit d'un lieu symbolique et extrêmement respecté.
→ Pour qu'un loup entre officiellement dans la meute, ce dernier doit manger un morceau de chair de son Ulfric et boire de son sang. C'est ainsi que se fait la transmission du pouvoir de la meute au nouveau venu. Tous deux récitent ensuite une incantation, sous les yeux respectueux des membres de la meute. Ce rituel est aussi symbolique qu'indispensable. Il ne peut avoir lieu autre part qu'au Lunapar, et est valable aussi bien pour accueillir dans la meute un solitaire, un mortel récemment transformé, ou un enfant de la meute venant d'avoir ses premières chaleurs et ayant vécu sa première transformation.
→ Lorsqu'un décès a lieu dans la meute, le cadavre est ramené au Lunapar. C'est là qu'ont lieu les rites funéraires : les lycanthropes rendent hommage à leurs morts, puis ils les dévorent, entièrement (ils sont tout à fait aptes à digérer les os). Selon les croyances, les esprits des morts peuvent ainsi quitter la terre et regagner le « Munin », sorte de paradis lycanthrope. Tout membre de la meute a droit à ce rituel. Ne pas l'offrir à l'un de ses frères décédés est considéré comme un affront, un manque total de respect, même si le comportement de ce dernier n'a pas toujours été exemplaire. Seuls les loups qui meurent en solitaires ne reçoivent pas ce dernier hommage.
→ Chez les loups, se porter « garant » d'un tiers signifie en être responsable. On peut se porter garant de la bonne conduite d'un individu, ou bien de sa parole, assurant qu'il fera ce qu'il dit. C'est une formule à ne pas prononcer à la légère, car elle implique généralement une forte humiliation en cas d'échec : si l'individu dont le loup s'est porté garant ne tient pas parole ou se comporte mal, selon le point évoqué, alors le garant pourra être provoqué par ses congénères, devra obligatoirement relever un défi imposé. Il s'agit très souvent de combats, et pour les femelles, de viols.

- magie de la meute -

Les membres d’une meute sont liés par une magie très ancienne et très puissante. Au-delà du lien fraternel, c’est un véritable lien mystique qui les unit, leur permettant de sentir chacun des autres membres en eux. Il est difficile de savoir exactement ce dont un lycan est capable, tant ils n’accueillent aucun étranger au sein de leur meute et ne partagent aucun secret. On peut toutefois affirmer qu'ils ressentent instantanément le mal-être d'un des leurs : si un confrère est en danger extrême, ils le savent. Ils possèdent également l'intuition de la mort d'un membre de la meute. Les circonstances et le lieu peuvent évidemment leur échapper, mais pas le décès en lui-même.
Un Ulfric est plus résistant que ses congénères, car il a le pouvoir de puiser dans l'énergie de la meute, donc dans celle de ses membres, pour reprendre des forces et aider ses propres blessures à se régénérer (une technique dont l'utilisation est prohibée lorsqu'il est défié pour prise de pouvoir). Plus les membres de la meute sont proches de lui, et plus ce processus est rapide et efficace. Outre sa force et son expérience, cela explique pourquoi un Ulfric est très difficile à tuer (à moins bien sûr d'user de méthodes radicales, comme la décapitation ou l'argent – à noter que dans le cadre d'un combat destiné à se mesurer à l'Ulfric ou à un autre membre de la meute, l'usage d'armes est interdit car considéré comme déloyal. Un Ulfric expérimenté est également capable de puiser dans l'énergie de la meute et de la canaliser, pour la déverser sur une cible choisie : il peut ainsi accélérer la guérison d'un des membres de sa meute.

- rôles au sein de la meute -

Au sein même d'une meute, il existe plusieurs « rangs », plusieurs échelons, statuts ou « titres honorifiques ». Un loup garou peut y accéder, soit en se montrant plus dominant que ses congénères, soit en bénéficiant d'une habilité particulière (et parfois les deux ; un bolverk par exemple, doit non seulement être dominant, mais également être formé au combat, entre d'autres atouts). En général, les femelles cherchent à être formées et nommées à un poste : cela leur confère quelques avantages, dont celui d'être respectées par les mâles, qui ne peuvent ni les blesser, ni les dominer à outrance, notamment lors des pleines lunes. Néanmoins, elles restent entièrement soumises à leur Ulfric ainsi qu'aux seconds de la meute.

Pour connaître les rôles encore disponibles et éventuellement en occuper un, c'est par ici !  

- la liste -

→ Ulfric ; Il est forcément un dominant, un Alpha. D'ailleurs, il arrive qu'on désigne, à tort, un Ulfric par l'appellation simple d' « Alpha ». Ce n'est pas tout à fait correct car un Alpha n'est pas forcément Ulfric, même si le contraire est vrai. L'Ulfric dirige la meute. On lui doit respect et obéissance. Il a gagné sa place par sa force, sa domination ainsi qu'en défiant les autres mâles de la meute. Il est de tous le plus puissant et le plus dominant. L'Ulfric doit tenir les siens et en est responsable. Il doit faire respecter les coutumes, sa loi et également l'Autorité de l'Amarok, dont il est le représentant à moindre échelle. Un ulfric dispose d'un charisme indescriptible et attire toute l'attention lorsqu'il entre dans une pièce, si bien que loups comme humains sont fascinés lorsque l'un se trouve à leurs côtés. Cela fait partie de la magie de la meute, afin de faire parfaitement la différence avec le leader. Pour un loup, il est difficile de résister aux ordres d'un Ulfric, même s'il fait partie d'une autre meute. Concernant les humains, les lycans les plus dominants sont capables de leur donner des ordres, et c'est d'autant plus facile si leur volonté est altérée (pour ceux étant de nature douce, ou étant blessés, par exemple). Un Ulfric est capable de puiser dans les ressources de la meute afin de soigner ses blessures ou celles d'un loup de sa meute. Il peut contraindre n'importe quel loup de sa meute à muter, de même qu'à l'en empêcher. Évidemment, c'est interdit lors d'un défi, et cette faculté ne leur sert que très peu : empêcher un loup de se transformer durant la pleine lune par exemple, conduirait à sa perte (il deviendrait fou et incontrôlable), mais peut s'avérer utile si le lieu n'est guère approprié.
→ Lupa ; C'est la femelle du chef de meute. Il n’y a rien à faire pour devenir Lupa, si ce n’est taper dans l’œil de l’ulfric. Avec la Raani, c’est le rang le plus haut que peut atteindre une louve-garou. Les autres lui doivent le respect, bien qu'elle ne possède aucune autorité à proprement parler.
→ Freki ; Il s'agit du second de la meute. Il assiste l'Ulfric dans toutes ses décisions et le remplace en cas d'absence. Il est, après l'Ulfric et la Lupa, le plus haut gradé de la meute. Il s'agit du mâle le plus dominant de la meute, après l'Ulfric. Il vaut mieux qu'un Ulfric et son Freki soient sur la même longueur d'ondes, autrement il est possible que cela fasse des étincelles. Quand un garou dominant accède au rang mais se montre trop insupportable, il n'est pas rare qu'un Ulfric cherche à maquiller sa mort soudaine...
→ Raani ;  Il s'agit d'une femelle particulièrement dominante. Toutes les meutes n'en possèdent pas car elles sont extrêmement rares. La Raani occupe un poste de troisième auprès de l'Ulfric. Elle se place juste en dessous du Freki, et au même titre que ce dernier, agit auprès de l'Ulfric en tant que conseillère. La Raani ne gagne pas son titre au combat -bien qu'elle doive être apte à remporter une bataille face à un lambda : elle se démarque par sa dominance, ses compétences, et parfois par son âge avancé qui lui confère le respect ; mais elle est surtout nommée par l'Ulfric, par stratégie ou par intérêt.
→ Skolls ; Les skolls sont les gardes du corps officiels du couple dominant. Seuls les mâles Alphas peuvent obtenir ce poste. Les skolls sont nommés par l'Ulfric, qui doit avoir toute confiance en eux. Un Skoll est un excellent combattant, un très bon traqueur et un bon espion. Malheureusement, il n'est pas rare que les Skolls ou les Bolverks se laissent aveugler par leur soif de pouvoir, et défient leur Ulfric pour prendre sa place.
→ Geri ; Certains Skolls prennent sous leur aile un mâle Alpha, afin de lui enseigner les ficelles du « métier ». Ces derniers sont rares car les Skolls n'ont généralement que très peu de temps à consacrer à des élèves. Un Geri n'est pas forcément le plus dominant de sa trempe : il est choisi par le Skoll, ce dernier étant seul juge du travail qu'il pourra ou non accomplir. Un Geri est donc un « apprenti Skoll ». Plus tard, il pourra gagner sa place de Skoll en montrant sa dominance et en faisant ses preuves. Il lui faudra aussi plaire à l'Ulfric pour être choisi. Mais sa « formation » lui donnera plus de chances d'obtenir le poste.
→ Bolverk ; Il est l’assassin officiel de la meute. Il punit les loups désobéissants ou incontrôlables et commet les meurtres indiqués par l'Ulfric. Il est soumis aux ordres de ce dernier et ne peut pas décider à sa place de donner la mort à quelqu'un, sauf en cas d'extrême urgence. Le Bolverk doit également être un mâle alpha. Il est souvent plus dominant que le Skoll. Un bolverk peut aussi avoir un apprenti, qu'on appelle Hati. C'est en revanche extrêmement rare, et il n'y en a pas dans la meute de Louisiane.
→ Heimdall ; L'Ulfric, qui est le seul à connaître son identité, doit avoir en lui toute confiance, car il s'agit de l'espion de la meute. Le plus doué, mais aussi le plus sournois. Il est rare qu'une femelle obtienne ce poste, mais pas impossible. L'Heimdall est, bien évidemment, choisi par l'Ulfric. Mais il doit pour cela faire preuve de ses talents et capacités.
→ Vargamor ; C'est le loup sorcier de la Meute. Très souvent, il s'agit d'une femelle. Les trois quarts des meutes craignent les Vargamor et n'en ont pas. La magie a tendance à rebuter les loups, à les effrayer car ils n'y connaissent pas grand chose, hormis quand il s'agit de la leur, celle de la meute. Les loups sorciers sont rares, descendants d'une lignée quasiment éteinte. Ces derniers portent le gêne en eux, qui peut se réveiller après avoir sauté plusieurs générations. Quand on découvre qu'un enfant de la meute possède des pouvoirs magiques, le seul moyen de l'aider à les développer est de le confier à des Sorciers. Plutôt compliqué car cela implique de faire confiance à des étrangers de la meute. Comment être sûrs que les Sorciers n'enseigneront pas au futur loup-sorcier à se retourner contre les siens ? A moins de posséder déjà un loup-sorcier expérimenté au sein de la meute, qui puisse apprendre aux novices, on préfère les tuer, pour s'éviter les complications.
→ Draugad ; Ayant un lien particulier avec les esprits, le Draugad rend aux morts les hommages et veille sur le Lunapar. Officiellement, il n'a pas de place particulière au sein de la meute, mais les superstitions veulent qu'il soit craint de tous et donc respecté, car il veille sur les morts et leur domaine. Là encore, il s'agit de descendants d'une vieille lignée. Le Draugad n'est pas choisi par l'Ulfric, mais par les esprits eux-mêmes, qui lui confèrent les pouvoirs nécessaires à sa fonction. Cela explique pourquoi il ne peut y avoir qu'un seul Draugad au sein d'une meute ; quand il meurt, les esprits désignent un autre représentant, il y a ainsi transmission de pouvoir d'un Draugad à l'autre. N'importe quel loup ne peut pas devenir Draugad, il doit avoir le « gêne ». Il prend ses fonctions aisément, son savoir étant inscrit en lui. Il se révèle uniquement quand les morts l'ont choisi. Il s'agit d'un poste pouvant aussi bien être occupé par un mâle qu'une femelle, et les Draugad ont le pouvoir d'appeler le pouvoir des défunts de la meute pour décupler la force et la résistance de ses individus. Ils ne voient pas les morts comme les médiums mais décèlent l'énergie qu'ils dégagent, et ne peuvent communiquer qu'avec les disparus de leur meute.
→ Vitnir ; Il s'agit du loup guérisseur. En général, ce dernier a de l'expérience en la matière et casser des os pour les ressouder comme il faut ne lui fait pas peur). Il sait aussi mieux que quiconque soigner les blessures à l'argent et remettre d'aplomb un loup amoché. Les femelles lui demandent parfois des mixtures pour les aider à garder leurs rejetons pendant leur transformation. Le Vitnir peut être un simple loup "docteur", mais il n'est pas rare que certains possèdent, en plus de leurs connaissances, un véritable pouvoir guérisseur. Il peut s'agir d'un homme comme d'une femme, choisi(e) pour ses talents par l'Ulfric. Le Vitnir peut prendre sous son aile un à deux apprentis. Ces derniers n'ont pas vraiment de titre, mais ils sont importants et respectés. Avec le Vitnir, ils sont particulièrement protégés par leurs congénères du fait de leur utilité certaine.
→ Loki ; Le "père de tous". Le Loki est généralement un lycan âgé d'au moins 200 ans. Apte à se contrôler, il peut être fier de sa maîtrise, mais surtout... l'enseigner aux autres, notamment aux plus jeunes. Le Loki est un référent en la matière. Il donne des conseils, soutient, surveille, met les jeunes au défi et sa présence les apaise (c'est là son véritable pouvoir). C'est aussi à lui que revient la décision finale lors d'une exécution de jeunot : si le Loki pense qu'il ne pourra rien tirer du jeune et qu'il causera de nombreux ennuis à la meute, alors... ce dernier devra mourir. Officiellement, le Loki est choisi par l'Ulfric, mais il s'impose de lui-même par sa maîtrise et son contrôle. Quand une meute a la chance de posséder un Omega, ce dernier occupe automatiquement la place de Loki, quitte à « voler » le poste d'un autre.
→ Eros ; Au sein de la meute, c'est la personne référente en matière de... sexe. L'Eros doit apprendre aux nouveaux à contrôler leur force et leurs pulsions au moment d'un rapport sexuel. L'Eros est très doux et capable de beaucoup de retenue. Il renseigne les mâles, leur apprend la théorie, et couche avec les femelles. Il est censé passer avec elles leurs toutes premières chaleurs, surtout si elles sont vierges. Mais l'Eros n'a aucun pouvoir sur ses congénères mâles, autrement dit, s'il est prioritaire sur les femelles lors de leurs premières chaleurs, une fois ces dernières passées, il ne peut plus les revendiquer, autrement dit les « protéger ». Le Travail d'Eros est considéré comme ingrat par ses représentants, car il est évident qu'en dépit de son enseignement, les mâles n'en font qu'à leur tête, n'hésitant pas à blesser les femelles en déployant toute leur bestialité au moment de l'acte. Surtout quand ils prennent de l'âge et sont très dominants (les plus jeunes ont quand même tendance à respecter les conseils de l'Eros). Cela dit, grâce à l'Eros, tous les loups d'une meute (mâles et femelles compris) sont capables d'avoir des relations sexuelles sans tuer leur partenaire. Cela a ses avantages, surtout lorsqu'aucun loup n'est disponible lors des chaleurs et qu'il faut se contenter d'un mortel.
→ Eranthe ; Son travail est à peu près le même que celui de l'Eros, mais au féminin. L'Eranthe doit être très dominante pour être capable de gérer les jeunes mâles, et de repousser les plus âgés. Cependant, lors des chaleurs, les mâles n'ont pas le droit de la persécuter, ni de se battre pour la prendre sans son consentement. Il s'agit d'un avantage apprécié des femelles occupant ce poste. Les Eranthes sont douées d'empathie : elles doivent soutenir les femelles, les conseiller, les aider à supporter l'humiliation et la douleur. Leur apprendre ce qui les attend lors des premières chaleurs et des suivantes. Elles réconfortent les femelles, et couchent avec les jeunes mâles. Avec eux elles sont très autoritaires et tentent de leur apprendre à se montrer moins violents, plus courtois et moins dépendants de leurs pulsions pendant l'acte. Officiellement, aucun mâle ne peut rien contre une Eranthe. Mais dans leur dos, elles sont souvent raillées et peu de mâles suivent leur enseignement à la lettre, surtout en vieillissant.
→ Lukoï ; Les Lukoïs sont les membres de la meute qui ne possèdent aucun des titres ci-dessus. Ce sont les plus nombreux, et on peut y trouver aussi bien des Alphas, que des Lambdas ou Stigmas. Parmi les lukoïs, tout est une histoire de dominance/soumission et non pas de rang : les plus soumis doivent le respect aux plus dominants.

- différentes sous-espèces -

Il existe des sous-espèces de lycanthropes, comme chez les vrais loups. On observe quelques différences de coutumes et habitudes d'une meute à l'autre, mais c'est surtout les pelages, et l'apparence physique globale, qui change. Ainsi que le lieu de vie, celui dont ils sont originaires. Les loups-garous sont plus réticents à l'idée d'accueillir des solitaires venus d'autres sous-espèces dans leur meute. Mais les cohabitations ne sont pas si rares que cela, et généralement, l'intégration se fait plutôt bien, même si cela peut générer quelques tensions à l'arrivée du membre « étranger ».

Pour connaître les représentants de chaque sous-espèce sur le forum, c'est par ici !  

- la liste -

→ Loup des Plaines ; C'est l'espèce la plus commune sur le territoire états-unien et canadien. La meute de La-Nouvelle-Orléans compte en majorité des représentants de cette sous-espèce. Leur fourrure n'est jamais uniforme : elle compte généralement un mélange de deux à trois couleurs, des nuances de roux, gris, noir, marron et crème.
→ Loup Gris Commun ; Il s'agit de la sous-espèce la plus répandue en Europe, ainsi qu'en Asie. Leur fourrure, de couleur très variable, adopte tous les mélanges de blancs, crème, rouge (rouille, roux), de gris et de noir. Les loups communs et loups des plaines ne font pas de très grande différence entre eux. Ce sont ceux qui s'entendent le mieux.
→ Loup d'Alberta ; Ils sont rares et vivent au Canada, parfois en Alaska. Leur pelage est, le plus souvent, uniforme : noir, gris ou fauve, et dans les cas exceptionnels, blanc. Ce sont les plus gros lycanthropes, les plus grands et les plus imposants. Généralement, ils sont craints de leur congénères à cause de leur force impressionnante. Il est très rare qu'un loup d'Alberta soit accueilli dans une meute étrangère à sa sous-espèce. Les loups d'Alberta sont les plus doués pour traquer et attraper le petit gibier. Ils chassent rarement en meute hormis lors des pleines lunes.
→ Loup Arctique ; ils sont facilement reconnaissables : ce sont les seuls à posséder une fourrure totalement blanche et très épaisse. Elle leur permet un camouflage parfait dans la neige et garde le canidé au chaud par des températures polaires. Leurs oreilles sont plus petites et plus arrondies que celles des autres loups. Leur museau est plus court (de même que les pattes) et plus rond également. Leur taille globale est aussi réduite ; sous leur forme animale, ils sont moins imposants que leurs congénères et moins grands. Ces adaptations limitent l'exposition des extrémités au froid. Leur tête arrondie et très poilue leur donne une allure de peluche, tout à fait adorables. Bien qu'ils n'en soient pas moins redoutables... Les loups arctiques sont un peu plus fertiles que leurs congénères. Ils vivent en Amérique du Nord (Groenland, Alaska, nord du Canada) et en Sibérie. Les meutes sont peu nombreuses et très éloignées les unes des autres. Elles comptent cependant un très grand nombre d'individus.
→ Loup des Steppes ; Ils vivent en Asie centrale et dans les déserts de Russie. Leur pelage est court, dur et de couleur fauve. Quelques exceptions possèdent un pelage gris très sombre avec une teinte ocre. Ce sont des loups petits et robustes (trapus pour les plus imposants).
→ Loup du Mexique ; Il doit rester tout au plus, une meute de cette sous-espèce au Mexique. Ses représentants sont extrêmement rares, beaucoup ont été exterminés. Ils sont dits « élégants », leur poil est long et fin. Leur pelage est un mélange de gris, brun, et de rouille sur le dos. Le bout de la queue et des oreilles est noir. Les loups mexicains possèdent une sorte de « crinière », le long de la colonne vertébrale (touffe de poils proéminente qui semble en permanence hérissée et lui donne une allure ébouriffée).
→ Loup des Indes ; C'est l'une des plus petites sous-espèce de lycans. Leur poil est dur et ras, gris avec parfois quelques nuances de fauve. Ils vivent en Inde, Turquie, Arabie Saoudite, Iran et Israël. Ils sont tout à fait reconnaissables de par leur petite taille et leur forme particulière : le crâne est allongé, le museau très pointu, ils donnent l'impression d'être maigres. Ils sont très rapides et agiles, et font parfois plutôt penser à des dingos qu'à des loups.
→ Loup Ibérique ; Autrefois appelés Loups d'Espagne, les Loups Ibériques sont originaires du Portugal et d'Espagne, dont ils peuplent encore aujourd'hui les sous-bois montagneux. Leur fourrure rase tire sur le roux, le bout de leurs pattes est noir et une tâche blanc/crème orne souvent leur poitrail. Leur tête est massive et leurs oreilles triangulaires ; de fait, on les confond souvent de loin avec de gros Bergers Allemands. Cette sous-espèce est très répandue puisque ses représentants passent ainsi aisément inaperçus.
→ Loup d'Italie ; Aussi appelés Loups des Abruzzes, ces individus sont très territoriaux et attachés à leur terre natale, qu'ils ne quittent quasiment jamais. Il est très rare de voir l'un d'eux à l'étranger. Les garous les plus vieux encore vivants sont des loups d'Italie, d'ailleurs l'Amarok d'Europe en fait partie. Les Loups d'Italie ont formé quelques meutes en France et en Suisse également. Ils aiment vagabonder au pied des Pyrénées mais on en trouve jusqu'en Sicile. Leur pelage est gris, avec des nuances de beige.
→ Loup Rouge ; Les Loups Rouges sont les plus rares des thérianthropes ; il est admis qu'ils ne peuvent se reproduire qu'entre individus de la même sous-espèce, même si les raisons de cette règle demeurent un mystère. Originaires du nouveau monde, les représentants de cette sous-espèce (si peu nombreux qu'on ne compte même pas une seule meute majoritairement composée de ces derniers), se retrouvent surtout en Amérique du Nord. Du fait de leur petite taille, de la finesse de leurs membres et de leur agilité, ils ressemblent de loin aux coyotes et peuvent être confondus avec. Leur fourrure est rase et présente des nuances de gris, sur fond rougeâtre.
→ Loup d'Ethiopie ; Également appelés Loups d'Abyssinie, ces individus se retrouvent majoritairement en Afrique, ils peuplent notamment les montagnes éthiopiennes. Ils sont petits et très fins, extrêmement rapides également. Avec leur fourrure rousse, leur bout des pattes et leur poitrail blancs, ils ressemblent aux Renards, avec lesquels ils sont systématiquement confondus lorsqu'on les croise en dehors de leur terre d'origine.
→ Loup de l'Himalaya ; Les Loups Himalayens sont originaires de la région trans-himalayenne dans le nord de l’Inde. De couleur fauve voire blonde, leur fourrure est longue et épaisse, parfaitement adaptée au froid. Elle a néanmoins la particularité de s'adapter en fonction du climat, et lorsque ses représentants quittent leur terre d'origine pour des endroits plus chauds, par exemple, elle est remplacée par ce qu'on pourrait appeler un « pelage d'été », plus clair et plus court, beaucoup moins épais. Les Loups de l'Himalaya sont réputés calmes et pacifistes (la plupart des Omega connus appartiennent à cette sous-espèce). L'Amarok d'Asie est un loup Himalayen.
→ Loup Tibétain ; Les Loups Tibétains vivent majoritairement en Chine, dans l'Altaï et en Mongolie. Ils sont réputés pour être les meilleurs chasseurs parmi tous les loups, et surtout, les plus féroces. Les meutes de cette sous-espèce sont très sauvages et peu intégrées à la société actuelle. Ils ne se mêlent pas aux humains et pour cause : on dit qu'ils sont le parfait opposé des Loups Himalayens, extrêmement nerveux, susceptibles et particulièrement enclins à déraper. Par le passé, le Haut Conseil a déjà évoqué la possibilité d'exterminer la sous-espèce ; à la place, certaines meutes ont été dispersées et ses individus dispatchés dans les meutes des Amaroks. Aujourd'hui, les rares meutes qui subsistent sont très surveillées, mais on les laisse tranquilles, car elles vivent en retrait.
→ Loup des Carpates ; Les Loups des Carpates vivent en Europe Centrale. Si les Loups d'Alberta sont les loups les plus massifs, les Loups des Carpates sont les plus hauts sur pattes ; ils atteignent souvent la taille des Loups d'Alberta, mais sont beaucoup plus fins et élancés, donc moins impressionnants.
→ Loup d'Egypte ; Originaires d'Afrique du Nord, les Loups d'Egypte se retrouvent majoritairement dans le Moyen-Atlas, en Egypte et en Lybie, dans les forêts et savanes du Sénégal jusqu'en Éthiopie. Sa fourrure rase admet des nuances de crème, de fauve et de gris. Avec leur museau et leurs oreilles pointues, leur tête triangulaire, ils font penser aux Chacals, bien que beaucoup plus gros. Aucun humain n'a jamais survécu à la morsure d'un Loup Éthiopien. On ignore pourquoi, mais il semblerait que cette sous-espèce soit incapable de contaminer des individus ; elle doit se reproduire pour perpétrer sa race.

- histoire de la meute -

XVe siècle – Bien avant la découverte de l'Amérique par les européens, un petit groupe de loups-garous amérindiens s'installe au sud du lac Pontchartrain. Il s'agit de la 2ème meute sur le territoire louisianais ; elle ne compte encore qu'une dizaine de membres.
1650 – La seconde meute, venue de l'ouest, débarque aux environs de Pontchartrain. Son Ulfric défie le chef de la meute installée et le tue ; plus fort, il revendique ses fidèles et son territoire : la meute de Pontchartrain est née.  
1695 – Face à l'arrivée des européens, l’inquiétude gagne la meute. Cette dernière déménage plus à l'ouest et s'installe dans la forêt de Maurepas, son territoire actuel.
1723 – Les premiers blancs sont mordus et intégrés à la meute : grâce à eux, les loups amérindiens espèrent se faufiler discrètement parmi les européens et apprendre leur culture pour mieux rivaliser avec eux. Le métissage de la meute est en route.
1850 – Suite à la Grande Famine, des loups irlandais ont regagné le territoire américain. La meute accueille ses premiers sang-purs européens.
1863 à 1865 – Aux Etats-Unis, vampires et lycanthropes profitent de la Guerre de Sécession pour se livrer bataille. La-Nouvelle-Orléans est touchée. Un essaim est totalement décimé, et la meute ressort victorieuse de ces batailles. L'intervention du Conseil des Loups et du Mortefilis met fin au conflit.
1864 – Arrivée d'Angus Keenan, alpha solitaire, dans la meute.
1889 – Angus devient Freki. Il seconde Isha Nokomis (Le Protecteur, Fils de la Lune), Ulfric héritier des premiers sangs d'argent amérindiens.
2000 – Angus défit l'Ulfric et le tue en combat singulier ; il a le soutien de sa meute, qui voit en lui un meilleur leader ainsi qu'un combattant plus expérimenté : Angus est plus jeune que le vieil Ulfric, plus fort et plus sournois. On compte sur lui pour protéger la meute et former les bonnes alliances durant la Guerre qui vient d'être déclarée.
2000 à 2014 – La meute combat aux côtés des Druides, des Vaudous et des Léopards. Elle s'oppose farouchement aux Vampires, aux Faes, ainsi qu'aux Chamans, clan auquel elle ne peut faire confiance même après son retournement de veste...
2015 – En tant qu'Ulfric de la meute, Angus est invité à siéger au Directoire.

- territoire -

Entre les lacs Maurepas et Pontchartrain, à l'ouest de La-Nouvelle-Orléans, s'étend le territoire des lycans. En pleine forêt, des clairières attenantes parsemées d'habitations plus ou moins luxueuses forment de minuscules villages interdits aux étrangers. Mieux vaut ne pas y pénétrer sans y avoir été invité.
Les loups ont la main mise sur tout l'espace qui constitue Maurepas. Certains ont choisi de s'isoler en construisant leur demeure un peu plus loin que celles des autres, en bordure de forêt par exemple... Mais aucun lycan n'a le droit de vivre trop loin des siens. Comme tous les thérianthropes, ils ont besoin d'espace pour se défouler à tout moment et ne peuvent résider en ville ; tout au plus y posséder un appartement, tenant lieu de résidence secondaire.